Megalodon

Auteur : Steve Alten

Éditeur : Pocket

Date de parution : Mai 1998

Nombre de pages : 353

EAN : 9782266079488

Où puis-je trouver ce livre ? : Amazon ; Bookeenstore ; Kobo ; Cultura

Résumé

Après 70 millions d’années, le Megalodon revient…
A la fin de la période du Crétacé, dans un endroit isolé du Pacifique, vit le prédateur le plus gros et le plus féroce de l’histoire du règne animal : le Carcharodon Megalodon. Dix-huit mètres, vingt tonnes, il est l’ancêtre des Grands Requins Blancs.
8 novembre 1997, Californie. Le professeur Jonas Taylor, paléontologue et ancien pilote de submersible pour la Navy donne une conférence sur le Megalodon. Depuis des années, il essaie en vain d’oublier sa dernière plongée. Mais il ne peut effacer de sa mémoire ce qu’il a cru voir, ce qui a causé la mort de deux hommes, ce qui a définitivement ruiné sa carrière : la tête du monstre, triangulaire, horrifiante, et son étrange éclat luminescent.
A présent, Jonas doit replonger. Les abysses vont lui réserver la plus effrayante des surprises. Ce qu’il va trouver fera taire les sceptiques, mais ce qu’il rapportera pourrait hanter les mers jusqu’à la fin des temps. Une lutte sans merci s’engage…

Ce que j’en pense

Dans mes nombreuses pérégrinations chez les libraires d’occasion, je suis tombé sur le livre Mégalodon. Comme j’avais beaucoup aimé le film au cinéma, je me suis dit que c’était l’occasion de découvrir ce livre qui est le premier tome d’une saga comptant six livres que la maison d’édition Pygmalion est actuellement en train d’éditer.

Le livre commence de manière intéressante. On se retrouve en pleine fin du crétacé et nous suivons un Tyrannosaurus Rex en pleine chasse. Mais nous allons vite comprendre que le plus grand prédateur est devenu la proie d’un prédateur encore plus effrayant : le Mégalodon. On est prévenu, l’auteur nous annonce la couleur : personne n’est à l’abri contre cette terreur des mers préhistorique.

Après cette introduction intéressante, Steve Alten fait retomber le soufflet mais c’est pour mieux mettre en place son scénario et ses personnages. J’utilise le mot « scénario » car l’auteur a une manière très cinématographique de nous conter son histoire. On sent quand même à la lecture que le romancier s’est pas mal inspiré des Dents de la Mer de Peter Benchley et de Jurassic Park de Michael Crichton. Après ça n’enlève en rien l’intérêt qu’on peut avoir pour le livre car il est plaisant à lire. L’histoire est assez simple et il y a des facilités voir même des scènes aberrantes mais Steve Alten conserve la tension jusqu’à la fin grâce à de l’action non stop et des chapitres courts.

L’auteur a vraiment tout misé sur son histoire car côté personnages ont à affaire à de véritables caricatures. Le personnage le plus caricatural est celui de Maggie, la femme de Jonas. Arriviste par excellence, on sait qu’elle est avec Jonas par intérêt et que la séduction est son arme fatale pour arriver à ses fins. C’est le personnage que j’ai le plus détesté, sinon les autres m’ont laissé indifférent. Même celui de Jonas que j’ai trouvé too much.

Vous l’aurez compris, on lit ce livre pour passer un bon moment sans se prendre la tête. Un vrai roman d’été à lire sur la plage avant de faire une petite trempette. Mais méfiez-vous ! Vérifiez l’horizon avant de piquer une tête.

L’adaptation cinématographique

J’adore les films avec des requins depuis que j’ai visionné Les dents de la Mer de Steven Spielberg quand j’étais jeune. Alors quand j’ai su qu’un film sortait avec un requin préhistorique, je suis allé le voir direct au cinéma, et j’ai adoré.

Premier bon point, ça fait plaisir de voir Jason Statham dans un film où il ne se bat pas. Bon après il est égal à lui-même et son jeu reste un peu toujours sur le même registre mais ça changeait.

Le scénario du film a été un peu modifié par rapport à l’histoire originale et franchement je l’ai préféré à celui du livre car de mon point de vue plus cohérente. L’action est non stop est on en prend plein les yeux pendant presque 2 heures. Les effets spéciaux sont très réussis et le Mégalodon est vraiment bien modélisé. Il y a quelques bons jumpscares et l’humour assez réussi grâce au personnage de la petite Meiying qui est très perspicace pour une gamine de 5 ans et qui n’a pas sa langue dans sa poche.

Et bien le film a été un très beau succès avec un peu plus de 530 000 000 dollars à travers le monde pour un budget de 150 000 000 dollars. Ce qui va pousser les producteurs a mettre en chantier une suite.

Alors je suis un peu circonspect, car la fin du film ne laisse pas vraiment présager une suite contrairement à la fin du livre. Mais je suis quand même curieux de voir ce que ça va donner.

En tout cas, si vous n’avez pas vu la film, je le conseille vous passerez un bon moment.

On continue l’aventure !

Section littéraire

Résumé : Été 1975, sur l’île d’Amity, peu avant le début de la période estivale. Un soir, une jeune femme un peu éméchée abandonne son petit ami qui s’est assoupi sur la plage pour aller se baigner.Mais, après quelques brasses, elle se fait happer par un grand requin blanc venu des profondeurs. Son cadavre mutilé sera retrouvé le lendemain matin sur la grève.Début de la psychose… D’autant qu’un enfant disparaît peu de temps après, qu’un homme est dévoré vivant par le squale…Faut-il interdire l’accès à la plage ? Les autorités sont partagées. Seul consensus : il faut éliminer le monstre. Quint, le pêcheur, Brody, le chef de la police, et Hooper, le jeune océanographe expert en requins – et en femmes – vont alors engager une lutte sans merci contre le monstre mangeur d’hommes.

Adorant le film de Steven Spielberg et ayant écouté l’épisode du podcast Adapte-moi si tu peux sur la comparaison du livre et du film, j’ai eu envie de découvrir à mon tour le livre. Et bien j’ai adoré ! L’histoire est beaucoup plus riche que dans le film et elle est vraiment captivante. Je vous le recommande chaudement.

Résumé : Assoiffé d’aventures, Ishmaël prend le large. De tous les navires qui sillonnent les mers au XIXᵉ siècle, les baleiniers sont sans doute les plus redoutables : c’est sur l’un d’eux qu’Ishmaël s’embarque pour chasser ces léviathans et gagner l’océan. À bord du Péquod, il fait la rencontre du capitaine Achab, voué à la destruction d’un seul être : Moby Dick, la baleine blanche qui jadis emporta sa jambe. Rivé à un unique objet, Achab s’identifie peu à peu à la baleine, métamorphose qui n’épargne pas son corps : à la place de sa jambe mutilée trône désormais l’os d’un cétacé.Les considérations économiques et maritimes, comme les rêves de voyage d’Ishmaël, cèdent le pas devant l’obsession du marin pour l’effroyable animal. Entraîné par la haine obstinée de son capitaine, l’équipage voit son horizon progressivement réduit à la seule ombre blanche de Moby Dick. 

Comment ne pas penser à Moby Dick quand on parle de monstres marins. Tout le monde connait l’histoire de cette baleine blanche. Encore un classique que je n’ai pas lu mais qui c’est un jour. Mais pour ma défense, j’ai vu l’excellent film de J. Houston avec Gregory Peck dans le rôle du capitaine Achab.

Section cinéma

Synopsis : Au sein d’une base sous-marine où un laboratoire est installé, une équipe de chercheurs travaille à injecter des molécules à d’immenses requins blancs, de manière à obtenir des composants pour guérir les maladies humaines. Problème : ce faisant, les requins deviennent intelligents…

Bon ok ce n’est pas le film du siècle. Pour certains, il est même considéré comme un bon nanar, mais pour moi c’est un plaisir coupable. J’ai vu ce film au cinéma ado et j’avais adoré. C’est pas trop mal joué et pour le coup, les requins sont de vrais requins ou s’ils sont numérisés et bien le boulot est bien fait. Un bon film popcorn pour une soirée sans prise de tête.

Synopsis : Quand un violent ouragan s’abat sur sa ville natale de Floride, Hayley ignore les ordres d’évacuation pour partir à la recherche de son père porté disparu. Elle le retrouve grièvement blessé dans le sous-sol de la maison familiale et réalise qu’ils sont tous les deux menacés par une inondation progressant à une vitesse inquiétante. Alors que s’enclenche une course contre la montre pour fuir l’ouragan en marche, Haley et son père comprennent que l’inondation est loin d’être la plus terrifiante des menaces qui les attend…

Alexandra Aja est un de mes petits chouchous en tant que réalisateur de films d’horreur (L’autre c’est Pascal Laugier). Après Horns que j’avais bien aimé et La neuvième vie de Louis Drax, passé inaperçu et que je n’ai pas vu d’ailleurs, j’étais impatient de voir la nouvelle proposition du réalisateur en matière d’angoisse. Et bien, j’ai adoré Crawl. Un vrai survival effrayant, qui vous tient en haleine jusqu’à la fin du film. Les jump scare fonctionnent merveilleusement bien. Si ne vous l’avez pas vu, je vous le conseille vivement, vous passerez un très bon moment.

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